vendredi 19 octobre 2012

“Frida and Diego” – Toronto AGO


 
Went to see this exhibition last night at the AGO (subtitled “passion, politics and painting”). One will have noticed the order of the names: no, not Diego and Frida, but the other way around. Because the latter is nowadays better known than the former – the G&M devoted a front-page (Arts section) article to the “Frida-better-known” phenomenon this morning…

Perhaps I am unique in that respect (no so,  as Cynthia felt the same way!) but I had the impression that the exhibition was more of a discovery of Diego and some of his work, of which we had not seen much, or heard much, except perhaps about his ill-fated attempt to get the son of Rockefeller to pay for a murale (which is, as we learn, his trademark!) incorporating a figure of Lenin, to be featured in the lobby of the Rockefeller Center in New-York!

I must admit, I had seen the film, Salma Hayek’s; an exhibition of Kahlo’s work at the Tate Modern in London a few years ago; and had bought a book about her for Cynthia (which she remembers vividly reading – she reads everything, and then some!) Which reminds me: for 1 book on Rivera in the inevitable store coming out of the exhibition, there were several on Kahlo!...

Aside from discovering some of the work of Diego Rivera (he was after all the chant of the Mexican Revolution!), what is striking are the photos and films about them – quite a few from photographers who were already (or were to be) well-known on their own, such as Nicholas Muray (who was, we learn, Frida’s lover at some point – we had certainly heard about Diego’s philandering, but it would seem that Frida did not “give her place” either: women in NYC and Paris, Trotsky in Mexico, and now this guy… One must remember incidentally that Frida’s (German) father was a professional photographer – so the camera was not a novelty to her… (she must have learned early on how to pause!...) Picture below from the Net http://neilsonartstudios.com/ - probably a picture taken by Muray (copyright?)
 

On the whole, a very good exhibition (likely to go back…).

Toronto , October 18, 2012

mardi 2 octobre 2012

Ville de Québec – weekend en septembre (2012)


Poursuivons sur Québec de Montréal, par train (un peu plus de 3 heures)…

Descendons au Le Germain – Dominion; nous y sommes déjà descendus en décembre 2008 (eh oui – il y a déjà 4 ans!) Bel hotel; belle et grande chambre. Grande attention aux détails. L’hôtel tient son nom, y apprend-on, de la compagnie qui a bâti l’immeuble au début du siècle dernier, la Dominion Fish & Fruit Limited. (“En 1912, l'édifice de huit étages était le plus haut et le plus moderne de la capitale! Son style est inspiré d'une école d'architecture de Chicago. À l'époque, la Dominion Fish & Fruit jouissait d'une enviable situation sur la rue Saint-Pierre, toute proche du port et reconnue comme la Wall Street de Québec. Elle partageait l'artère avec des édifices prestigieux en pierre de taille, qui abritaient banques, courtiers, assureurs, notaires, avocats et divers commerçants. Aujourd'hui, on peut encore lire sur la façade de l'immeuble le nom de la compagnie qui l'a érigé. En 2002, l'hôtel s'est agrandi en englobant l'édifice voisin, celui de l'ancienne Banque d'Hochelaga, datant de 1902. C'est alors que les portes des voûtes, fabriquées par la firme ontarienne Goldie & McCulloch, ont été redisposées sur chaque étage. Un plan d'étage de la banque est également exposé” lit-on sur le site internet de l’hôtel).

Photo çi-bas: place FAO, coin rues St-Pierre et St-Paul, vue de la chambre

Visite “familiale”: lunch à “L’Echaudé” avec Micheline; diner chez Robert, avec Rolande, Micheline & Claude, Cynthia et moi - appels téléphoniques aux "manquants" (Normand en Gaspésie, et plus tard en soirée, Gaston à Ferme-Neuve); brunch dimanche chez Claude et Micheline (photo plus bas), toujours en famille (canard délicieux!)


Petit achat sur la rue St-Paul pour Cynthia, tout près, une création de joailliers locaux (Karine Gaudreault et Robert Langlois)

Visite en après-midi au Musée de la civilisation, tout près. Plus d’une heure à parcourir l’exposition (“spectaculaire…”, de dire Le Monde!) Samouraï. Chefs-d’œuvre de la collection Ann et Gabriel Barbier-Mueller (« Une incursion captivante dans l’univers mythique de ces guerriers à la fois redoutables et féroces, cultivés et raffinés, à partir de la collection unique et exceptionnelle rassemblée au cours des 20 dernières années par Ann et Gabriel Barbier-Mueller. En tout, ce sont sept siècles de chevalerie japonaise qui sont évoqués. Une histoire pleine de bruit et de fureur, de code d’honneur – le bushido – et... d’art! » selon le site du musée); et puis, rapidement, une nouvelle exposition permanente au musée, Le Temps des Québécois, le temps de se rafraîchir la mémoire!

Retour sur Toronto (via Montréal – 2 trains; plus de 9 heures!) le dimanche.

Québec, septembre 2012