La salle était pleine, mais je dois dire que la pièce ne m’a pas particulièrement séduite – avouons-le tout de go! Je dois reconnaître d’abord que ce n’est pas un concert et que l’interprétation musicale des œuvres de Cohen est laissée aux membres de la troupe, dont la voix n’est peut-être pas le principal atout! Néanmoins, çà n’a pas passé – je dois admettre, en premier lieu, que ce type de théâtre – inspiré par la danse moderne et son symbolisme – ne tombe pas tout à fait dans mes cordes! Et ce, en dépit de ce que le directeur artistique du Centaure, Roy Surette (un drôle de nom!), ait pu penser quand il écrit, au sujet de cette pièce, «You will have a rich and rewarding experience as well as appreciate this Danish take on Cohen’s artistry as it mixes with theirs.» On peut sympathiser avec l’intention de ce chorégraphe de renom, Palle Granhøj, et de sa « technique de l’obstruction », mais très peu pour moi! (Curieusement, ma fille – je dis « curieusement » parce que c’est une grande amatrice et pratiquante de danse contemporaine – partage le même sentiment vis-à-vis de cette pièce!...je me demande ce que Cynthia en aurait pensé…)
(Petit déjeuner en journée avec Laurence, Eric et Béatrice, au Le Cartet – avant de passer quelques heures au Musée des Sciences, fort bien conçu pour les petits, tout près dans le Vieux-Montréal; et une pâte, après le théâtre, avec Dominique, chez Holder, toujours dans le Vieux!)
Montréal, le 13 avril 2013