3 jours à Madrid…3 musées!
Découverte d’un nouvel hôtel, Hostal Abalu, recommandé par i-escape. Découverte, c’est le cas de la dire car l’un de nos taxis – il a fallu en prendre 2 de la gare, le premier refusant de nous prendre avec tous nos bagages! – s’est perdu en s’y rendant. Hôtel très retro – dernier spectacle de Madonna projeté sur le mur du lobby - clientèle mixte, confortable mais plutôt exiguë. Très central, dans un quartier plutôt mixte également…
Au programme, 3 musées parmi les plus grands au monde : le Centro del Arte Reina Sophia, le Prado et le Thyssen-Bornemisza.
Lundi. Descente à pied le long de la Gran Via et de la Paseo del Prado vers le Reina Sofia qui loge la peinture espagnole contemporaine et moderne. Focus sur Picasso – la Guernica, inévitable, mais aussi une série de sketches au crayon qui diffèrent de l’habitude – Dali, Miro, en profusion – probablement la collection la plus abondante de ces peintres en un seul lieu. Quelques découvertes, dont Gargallo, ses sculptures et masques de fer. Salut en passant au mouvement surréaliste – salle dédiée au films marquants de Bunuel, Le Chien Andalou et l’Age d’Or, tourné avec la contribution de Dali et de Frederico Garcia Lorca si je ne me trompe pas. Passons outre la production plus moderne des années ’80 et plus. Visite rapide dans la partie moderne du musée – un ajout à cet ancien hôpital transformé en musée – ou se trouve une librairie fantastique couvrant tous les arts et ou j’ai passé pas mal de temps lors de ma dernière visite à l’automne l’an passé. Déjeuner aux tapas dans une taberna recommandée par l’hôtel dans le quartier maintenant à la mode du Latina : si on aime la friture, on est bien servi avec les tapas!
En soirée, le flamenco, la troisième session depuis Séville; plus « moderne », moins touristique. Jamon et queso, plus vin rouge!
Mardi, le Prado. Focus sur Goya, une reprise pour moi, une découverte pour Cynthia. Je m’absente pour un rendez-vous d’affaires. Cynthia se paie El Greco, Bosch, Velasquez, Ribero, and the only Rembrandt. En supplément, après le déjeuner, une exposition de photos, artistes d’un peu partout, captant le 20e siècle, la première partie en tout cas : « Momentos estelares. La fotografia en el siglo XX ». La découverte, c’est plutôt le building dans lequel l’exposition se trouve : le Circulo de Bellas Artes, très art déco.
Mercredi, le Thyssen, avec son exposition spéciale qui commençait hier : Durer y Cranach : Arte y humanisme en la Ale mania Del Renacimiento. A voir également la collection de peintres flamands, la plus considérable selon Teddy Bautista, le CEO de la SGAE, l’équivalent local de la SOCAN. Remarquable collection permanente, très éclectique mais qui couvre l’éventail de la peinture du 14e siècle-début 20e, plus une bonne collection américaine.
Madrid, le 10 octobre
Découverte d’un nouvel hôtel, Hostal Abalu, recommandé par i-escape. Découverte, c’est le cas de la dire car l’un de nos taxis – il a fallu en prendre 2 de la gare, le premier refusant de nous prendre avec tous nos bagages! – s’est perdu en s’y rendant. Hôtel très retro – dernier spectacle de Madonna projeté sur le mur du lobby - clientèle mixte, confortable mais plutôt exiguë. Très central, dans un quartier plutôt mixte également…
Au programme, 3 musées parmi les plus grands au monde : le Centro del Arte Reina Sophia, le Prado et le Thyssen-Bornemisza.
Lundi. Descente à pied le long de la Gran Via et de la Paseo del Prado vers le Reina Sofia qui loge la peinture espagnole contemporaine et moderne. Focus sur Picasso – la Guernica, inévitable, mais aussi une série de sketches au crayon qui diffèrent de l’habitude – Dali, Miro, en profusion – probablement la collection la plus abondante de ces peintres en un seul lieu. Quelques découvertes, dont Gargallo, ses sculptures et masques de fer. Salut en passant au mouvement surréaliste – salle dédiée au films marquants de Bunuel, Le Chien Andalou et l’Age d’Or, tourné avec la contribution de Dali et de Frederico Garcia Lorca si je ne me trompe pas. Passons outre la production plus moderne des années ’80 et plus. Visite rapide dans la partie moderne du musée – un ajout à cet ancien hôpital transformé en musée – ou se trouve une librairie fantastique couvrant tous les arts et ou j’ai passé pas mal de temps lors de ma dernière visite à l’automne l’an passé. Déjeuner aux tapas dans une taberna recommandée par l’hôtel dans le quartier maintenant à la mode du Latina : si on aime la friture, on est bien servi avec les tapas!
En soirée, le flamenco, la troisième session depuis Séville; plus « moderne », moins touristique. Jamon et queso, plus vin rouge!
Mardi, le Prado. Focus sur Goya, une reprise pour moi, une découverte pour Cynthia. Je m’absente pour un rendez-vous d’affaires. Cynthia se paie El Greco, Bosch, Velasquez, Ribero, and the only Rembrandt. En supplément, après le déjeuner, une exposition de photos, artistes d’un peu partout, captant le 20e siècle, la première partie en tout cas : « Momentos estelares. La fotografia en el siglo XX ». La découverte, c’est plutôt le building dans lequel l’exposition se trouve : le Circulo de Bellas Artes, très art déco.
Mercredi, le Thyssen, avec son exposition spéciale qui commençait hier : Durer y Cranach : Arte y humanisme en la Ale mania Del Renacimiento. A voir également la collection de peintres flamands, la plus considérable selon Teddy Bautista, le CEO de la SGAE, l’équivalent local de la SOCAN. Remarquable collection permanente, très éclectique mais qui couvre l’éventail de la peinture du 14e siècle-début 20e, plus une bonne collection américaine.
Madrid, le 10 octobre